Ma solitude n’était pas qu’affective. Comme aucun compagnon ne me satisfaisait, je n’en gardais aucun et passais souvent de longues périodes très seule. Au travail, je tissais rarement des liens car on me trouvait spéciale. Avec une apparente assurance, je communiquais maladroitement avec les autres. Métro-boulot-dodo, ma vie sociale était inexistante, je restais transparente. Pourtant, j’avais faim et soif d’amour, …
Borderline, un comportement parfois étrange

Commentaires récents